Durant la guerre d'Algérie, en 1956, il rejoint l'armée de libération nationale (ALN) après avoir déserté l'armée française. « Depuis le 4eme mandat, ce Gaid Salah est le commissaire politique de Bouteflika. La Vidéo à l’origine de l’arrestation de Lakhdar BOUREGAA… Lakhdar Bouregaa, commandant de la 4eme wilaya historique, arrêté le 29 juin 2019! C’est toujours un plaisir de discuter avec Lakhdar Bouregaâ et pas seulement pour son humour sarcastique ou ses succulentes anecdotes. Il fait partie des militants dont la libération est posée par le hirak comme préalable pour des discussions avec le pouvoir[17],[18]. Dimanche 1 juillet 1962, référendum d’autodétermination. Aucun lieu à afficher. Mais il ne pouvait en être ainsi car c’est l’un des derniers baroudeurs de la guerre de Libération encore en vie qui vient d’être mis à l’ombre. Conseil économique social et environnemental Recommended for you 1:13:53 Watch Queue Queue Lakhdar Bouregaa (en arabe : لخضر بورقعة (Bouregâa)), né le 15 mars 1933 à El Omaria et mort le 4 novembre 2020 à El Biar, est un militant indépendantiste et homme politique algérien. Le Commandant Lakhdar, son nom de guerre, a été au cœur de la lutte de Libération nationale dès 1956 à la wilaya IV. Il fait partie des militants dont la libération est posée par le hirak comme préalable pour des discussions avec le pouvoir[17],[18]. Lakhdar Bouregaa est sur Facebook. Il est l'adjoint de Youcef Khatib, chef de la wilaya IV, jusqu'à la fin de la guerre, qu'il termine avec le grade de commandant[4]. La révolte du FFS est écrasée à son tour début 1964[6], avant le coup d'État de Houari Boumédiène en 1965. Pendant que plusieurs associations des droits de l’homme expriment leur profond dégoût, la fondation Bigeard, du nom du fameux général français et chasseur des moudjahidines durant la guerre d’Algérie, a annoncé son entière satisfaction d’apprendre que Lakhdar Bourregaa a été “mis hors d’état de nuire”. Lakhdar Brahimi (arabe : لخضر براهيمي), né le 1er janvier 1934 à El Azizia, près de Tablat en Algérie, est un diplomate et homme politique algérien. Il rejette ensuite toute démarche visant à le libérer, tant que les manifestants ne l'auront pas été[20]. D'après lui, il est trahi par le commandant Azzedine[8]. Parmi ces personnalités, nous […] Il devient chef de la zone II de la wilaya IV entre 1959 et 1960[3]. "L'ORIGINE DE LA VIE" - Hubert REEVES, conférence exceptionnelle - Duration: 1:13:53. Il avait 87 ans. Lakhdar Bouregaa naît le 15 mars 1933 à El Omaria en Algérie, alors départements français. Le 28 octobre, sa détention est renouvelée pour quatre mois[22]. Télévision. Facebook offre à … Lakhdar Bouragaa. Il est enterré le lendemain au cimetière de Sidi Yahia à Alger[30]. La fille du Moujahid a lancé un véritable cri d’alarme aux algériens pour aider sa famille à libérer Il est un officier de l'armée de libération nationale (ALN) de l'intérieur de 1956 à l'indépendance. Membre du Front de libération nationale (Algérie), Personnalité du Front des forces socialistes, Mort de la maladie à coronavirus 2019 en Algérie. Lakhdar Bouregaa passe sept ans en prison[9] : il est libéré en 1975[10]. Philippines * France * Pride Worldwide * Egypt * Sudan * West Papua * Guatemala * Algeria D'après lui, il est trahi par le commandant Azzedine[8]. Il est un officier de l'armée de libération nationale (ALN) de l'intérieur de 1956 à l'indépendance. En juin 1963, il participe à la création de l'Union pour la défense de la révolution socialiste, éphémère parti clandestin de Krim Belkacem. Lakhdar Bouregaa, a highly respected veteran of Algeria's war of independence against France and a key figure in an anti-regime protest movement, has died at the age of 87. Il est l'adjoint de Youcef Khatib, chef de la wilaya IV, jusqu'à la fin de la guerre, qu'il termine avec le grade de commandant[4]. Lakhdar Bouregaâ, ex-commandant de la Wilaya IV historique, renvoie dos à dos Amar Saïdani et Abdelaziz Belkhadem. En 2019, durant le hirak, il fait partie des membres qui soutiennent la volte-face de l'Organisation nationale des moudjahidine (ONM) contre Abdelaziz Bouteflika[11], ce qui contribue à précipiter la démission du président. Sa vie, son parcours militant font de lui un symbole de l’engagement, de la résistance et, surtout, de la lutte pour un idéal défendu par tous ses semblables : libérer le pays et instaurer une véritable démocratie en Algérie. Droit d'auteur : les textes des articles sont disponibles sous. La révolte du FFS est écrasée à son tour début 1964[6], avant le coup d'État de Houari Boumédiène en 1965. « Lakhdar Bouregaa maintenu en détention ». Lakhdar Bouregaa (en arabe : لخضر بورقعة (Bouregâa)), né le 15 mars 1933 à El Omaria, est un militant indépendantiste et homme politique algérien. Il est condamné le 11 mai à une amende de 100 000 dinars pour « atteinte à corps constitués »[27]. Plusieurs militants à l’origine de cette action pacifique ont été arrêtés par les policiers, déplorent le comité national pour la libération des détenus d’opinion, un collectif […] Il est un officier de l'armée de libération nationale (ALN) de l'intérieur de 1956 à l'indépendance. Autres. Des centaines d'Algériens se sont retrouvés malgré les restrictions imposées par le coronavirus pour rendre un dernier hommage à cet opposant du régime. Ce vendredi matin, un rassemblement en hommage au Moudjahid Lakhdar Bouregaa, décédé mercredi soir à Alger, organisé en plein centre-ville d’Annaba a été réprimé par les services de sécurité. Il suit l’actualité au jour le jour. À propos de Lakhdar Bouregaa. Le 22 octobre, il refuse de répondre au juge d'instruction, dénonçant les chefs d'inculpation et estimant que le gouvernement est illégitime[21]. Plusieurs personnalités politiques et historiques ont été contactées par la Présidence de la République pour les associer au projet de la Conférence nationale inclusive et indépendante qui sera mise en place pour conduire la période de transition à la suite de l’abandon officiel du 5e mandat, a-t-on appris de sources sûres. Membre du Front de libération nationale (Algérie), Personnalité du Front des forces socialistes, Mort de la maladie à coronavirus 2019 en Algérie. La télévision nationale affirme qu'il a usurpé le titre de moudjahid et l'identité de son frère, ce que Youcef Khatib et la presse démentent[16]. Il est défendu par Mostefa Bouchachi et Abdelghani Badi. This video is unavailable. Lakhdar Bouregaa (en arabe : لخضر بورقعة (Bouregâa)), né le 15 mars 1933 à El Omaria et mort le 4 novembre 2020 à El Biar, est un militant indépendantiste et homme politique algérien. Il fait son service militaire à Mostaganem , puis à Briançon en France métropolitaine chez les chasseurs alpins [ 1 ] , avant d'être envoyé à Safi au Maroc d'où il s'évade en mars 1956 avec un … Lakhdar Brahimi (Algerian pronunciation: [læxdˤɑr bræhiːmi]; Arabic: الأخضر الإبراهيمي ‎; al-Akhḍar al-Ibrāhīmi; born 1 January 1934) is an Algerian United Nations diplomat who served as the United Nations and Arab League Special Envoy to Syria until 14 May 2014. Il est enterré le lendemain au cimetière de Sidi Yahia à Alger[30]. Makhlouf Mehenni, « Lakhdar Bouregâa, l’anathème qui ne passe pas », « ALERTE – Lakhdar Bouregaa libéré », sur, Aylan Afir, « Hirak en Algérie : Un an de prison ferme requis contre Lakhdar Bouregâa », observalgerie.com, 12 mars 2020, « Lakhder Bouregaa inhumé ce jeudi au cimetière de Sidi Yahia », sur, « Algérie : Le Moudjahid Lakhdar Bouregaâ est décédé », sur, « Alger : Enterrement du Moudjahid Lakhdar Bouregaâ », sur, Conseil national de la Révolution algérienne, Assemblée nationale constituante algérienne, https://www.cairn.info/revue-guerres-mondiales-et-conflits-contemporains-2001-1-page-163.htm#, Youcef Khatib sort de son silence et retrace le parcours de Bouregaa, Hocine Aït Ahmed (3): de la création du FFS à la conférence de Londres, Algérie: le camp Bouteflika perd certains de ses soutiens, Les étudiants réagissent à la dernière campagne d’arrestations : «Libérez Lakhdar Bouregaâ !». Durant la crise de l'été 1962, le GPRA et les militants de l'intérieur sont vaincus par l'armée des frontières et le clan d'Oujda, menés par Houari Boumédiène, qui s'est allié avec Ahmed Ben Bella. Lakhdar Bouregaa meurt le 4 novembre 2020 à l'hôpital de la Sûreté nationale les Glycines à El Biar, des suites de la Covid-19[28],[29]. Ville actuelle et d’origine. Le 5 novembre 2019, il est transporté à l'hôpital Mustapha Pacha où il subit une intervention chirurgicale pour une occlusion intestinale[23]. Figure du Hirak, il est arrêté le 30 juin 2019 puis libéré le 2 janvier 2020, son procès est fixé au 12 mars 2020. Lakhdar Bouregaa passe sept ans en prison[9] : il est libéré en 1975[10]. Lakhdar Bouregaa naît le 15 mars 1933 à El Omaria en Algérie, alors départements français. Il fait partie des fondateurs du Front des forces socialistes en 1963. Il s'oppose au clan d'Oujda depuis la crise de l'été 1962 : il est l'un des membres fondateurs du Front des forces socialistes (FFS) en 1963 et une figure du Hirak en 2019-2020. Où les généraux algériens ont-ils caché Bouteflika? Le 7 octobre, il envisage d'entamer une grève de la faim, mais il en est dissuadé au vu de son âge et de son état de santé, par ses avocats, son entourage et des citoyens[19]. Il fait son service militaire à Mostaganem, puis à Briançon en France métropolitaine chez les chasseurs alpins[1], avant d'être envoyé à Safi au Maroc d'où il s'évade en mars 1956 avec un groupe d'appelés pour rejoindre le FLN[2]. Avec Mohand Oulhadj, Lakhdar Bouregaa sert d'intermédiaire entre Krim Belkacem et Hocine Aït Ahmed, ce dernier créant en septembre 1963 le Front des forces socialistes, défiant le pouvoir, le FLN ayant été déclaré parti unique. Il suit l’actualité au jour le jour. Lakhdar Bouregaa est sur Facebook. Lakhdar Bouregaâ a fait partie de l'OS. Favoris. Makhlouf Mehenni, « Lakhdar Bouregâa, l’anathème qui ne passe pas », « ALERTE – Lakhdar Bouregaa libéré », sur, Aylan Afir, « Hirak en Algérie : Un an de prison ferme requis contre Lakhdar Bouregâa », observalgerie.com, 12 mars 2020, « Lakhder Bouregaa inhumé ce jeudi au cimetière de Sidi Yahia », sur, « Algérie : Le Moudjahid Lakhdar Bouregaâ est décédé », sur, « Alger : Enterrement du Moudjahid Lakhdar Bouregaâ », sur, Conseil national de la Révolution algérienne, Assemblée nationale constituante algérienne, https://www.cairn.info/revue-guerres-mondiales-et-conflits-contemporains-2001-1-page-163.htm#, Youcef Khatib sort de son silence et retrace le parcours de Bouregaa, Hocine Aït Ahmed (3): de la création du FFS à la conférence de Londres, Algérie: le camp Bouteflika perd certains de ses soutiens, Les étudiants réagissent à la dernière campagne d’arrestations : «Libérez Lakhdar Bouregaâ !». Lakhdar Bouregâa : « Le pouvoir a un plan et le nom du futur président » 27 Juin 2019 à 10:10 Le Moudjahid et militant politique Lakhdar Bouregaâ a annoncé, ce jeudi 27 juin dans une déclaration à TSA Arabi, qu’il « ne participera pas à la conférence de l’opposition prévue pour le 6 juillet ». Il est défendu par Mostefa Bouchachi et Abdelghani Badi. La télévision nationale affirme qu'il a usurpé le titre de moudjahid et l'identité de son frère, ce que Youcef Khatib et la presse démentent[16]. Lakhdar Bouregaa naît le 15 mars 1933 à El Omaria en Algérie, alors départements français. Le scrutin est libre et honnête, le premier du genre, et accouche naturellement d’un vote massif en faveur de l’indépendance. L’ancien moudjahid et commandant de la wilaya iv historique Lakhdar Bouregaâ a rendu l’âme mercredi soir à l’âge de 87 ans des suites du coronavirus. Inscrivez-vous sur Facebook pour communiquer avec Lakhdar Bouregaa et d’autres personnes que vous pouvez connaître. Au procès où il comparait libre, le 12 mars 2020, le procureur demande sa condamnation à 1 an de prison ferme[26]. Algérie – La libération du Moudjahid Lakhdar Bouregaa est au centre de la lettre adressée ce mercredi 13 novembre, par l’organisation nationale des moudjahidine (ONM) au … C’est sa véritable nature. Dans un entretien accordé à la chaîne de télévision Ennahar TV, ce chef historique tire à boulets rouges sur ces deux personnages politiques appartenant au «néo-FLN». Il est député FLN de Médéa à l'Assemblée nationale constituante algérienne en septembre 1962. Il devient chef de la zone II de la wilaya IV entre 1959 et 1960[3]. Il a été présenté aujourd’hui devant le procureur du tribunal de Bir Mourad Raïs qui a ordonné sa mise sous mandat de dépôt. Il est député FLN de Médéa à l'Assemblée nationale constituante algérienne en septembre 1962. Lakhdar Bouregaa naît le 15 mars 1933 à El Omaria en Algérie, alors départements français. Arrêté le 3 juillet 1967, il affirme avoir été torturé jusqu'au 27 août 1968, lorsqu'il est transféré à la prison de Sid El-Houari, à Oran, avant d'être ramené à Alger le 27 septembre pour de nouveaux interrogatoires, puis d'être retransféré à Oran le 27 octobre[7]. https://babzman.com/lakhdar-bouregaa-lhomme-qui-naimait-pas-lete L’information aurait pu passer inaperçue, noyée dans la multitude d’interpellations qui se succèdent depuis plusieurs semaines. Les chefs des wilayas, dont Lakhdar Bouregaa, cherchent à reprendre l'avantage[5]. Lakhdar Bouregaa (en arabe : لخضر بورقعة (Bouregâa)), né le 15 mars 1933 à El Omaria et mort le 4 novembre 2020 à El Biar, est un militant indépendantiste et homme politique algérien. L’Algérie n’aura enfanté qu’un seul Lakhdar Bouregaâ, comme elle n’a enfanté qu’un seul Abane, un Ben M’hidi, un Didouche, un Amirouche, un Krim, une Hassiba Ben Bouali. Le 5 novembre 2019, il est transporté à l'hôpital Mustapha Pacha où il subit une intervention chirurgicale pour une occlusion intestinale[23]. Il a également été élu membre de l'Assemblée nationale constituante algérienne en septembre 1962. Le 26 juin, il participe à la réunion de signature du « pacte pour l'alternative démocratique » au siège du RCD[12]. S’inscrire. Le 7 octobre, il envisage d'entamer une grève de la faim, mais il en est dissuadé au vu de son âge et de son état de santé, par ses avocats, son entourage et des citoyens[19]. Par Massin Amrouni; jeudi 31 octobre 2019 à 23:48; Suivez-nous sur Google News pour ne rien rater. En juin 1963, il participe à la création de l'Union pour la défense de la révolution socialiste, éphémère parti clandestin de Krim Belkacem. Il est condamné le 11 mai à une amende de 100 000 dinars pour « atteinte à corps constitués »[27]. Arrêté le 3 juillet 1967, il affirme avoir été torturé jusqu'au 27 août 1968, lorsqu'il est transféré à la prison de Sid El-Houari, à Oran, avant d'être ramené à Alger le 27 septembre pour de nouveaux interrogatoires, puis d'être retransféré à Oran le 27 octobre[7]. Il s'oppose au clan d'Oujda depuis la crise de l'été 1962 : il est l'un des membres fondateurs du Front des forces socialistes (FFS) en 1963 et une figure du Hirak en 2019-2020. « Lakhdar Bouregaa maintenu en détention ». Avec Mohand Oulhadj, Lakhdar Bouregaa sert d'intermédiaire entre Krim Belkacem et Hocine Aït Ahmed, ce dernier créant en septembre 1963 le Front des forces socialistes, défiant le pouvoir, le FLN ayant été déclaré parti unique. Lakhdar Bouregaa meurt le 4 novembre 2020 à l'hôpital de la Sûreté nationale les Glycines à El Biar, des suites de la Covid-19[28],[29]. Droit d'auteur : les textes des articles sont disponibles sous. Le 22 octobre, il refuse de répondre au juge d'instruction, dénonçant les chefs d'inculpation et estimant que le gouvernement est illégitime[21]. L’histoire du Moudjahid Lakhdar Bouregaa. He was Minister of Foreign Affairs of Algeria from 1991 to 1993.. ou. En juillet 1969, il est condamné par la Cour révolutionnaire présidée par Mohamed Abdelghani à 10 ans de prison pour avoir participé à un complot visant à assassiner Houari Boumédiène, et à 20 ans de prison pour avoir participé à la tentative de coup d'État de Tahar Zbiri, en décembre 1967. Il s’agit du plus vieux parti d’opposition en Algérie. Lakhdar Bouregâa est arrêté et incarcéré. Libya 24 - ليبيا 24. À 86 ans et à quelques […] Il est libéré le 2 janvier 2020[24], en même temps que de nombreux autres militants du hirak[25]. Où les généraux algériens ont-ils caché Bouteflika? Mais avant de rejoindre l'ALN en 1956, il est appelé sous les drapeaux et fait son service militaire au centre d'instruction de Mostaghanem, puis est affecté à Briançon en France où il devient chasseur alpin (soit un soldat d'élite) et enfin à Safi au Maroc. Il rejette ensuite toute démarche visant à le libérer, tant que les manifestants ne l'auront pas été[20]. Bekhti Ould Abdallah, « Je connaissais l’aptitude à la trahison du commandant Azzedine », Kamel Lakhdar-Chaouche, « Lakhdar Bouregaâ: Le fidèle compagnon de lutte de Ait Ahmed », Lexpressiondz.com, 2 janvier 2019, « L'histoire du Moudjahid Lakhdar Bouregaa - Algérie360.com », sur, « « Libérez Bouregaâ », tonnent les manifestants à Alger », dzvidéo, 23 août 2019. #Lakhdar_Bouregaa LIBRE. Connexion. Il fait son service militaire à Mostaganem, puis à Briançon en France métropolitaine chez les chasseurs alpins[1], avant d'être envoyé à Safi au Maroc d'où il s'évade en mars 1956 avec un groupe d'appelés pour rejoindre le FLN[2]. Auteurs de l'article « Lakhdar Bouregaa » : « Lakhdar Bouregaâ raconte la torture dans les geôles de Boumediene », dzvidéo, 30 juin 2019. Les chefs des wilayas, dont Lakhdar Bouregaa, cherchent à reprendre l'avantage[5]. Il a également été élu membre de l'Assemblée nationale constituante algérienne en septembre 1962. Suite à des déclarations au sujet du général Ahmed Gaïd Salah, nouvel homme fort du régime, qu'il accuse notamment d'avoir déjà choisi le futur président de la République[13], ainsi qu'au sujet de l'armée des frontières, il est arrêté le 30 juin après une plainte du ministère de la Défense[14] et poursuivi pour « outrage à corps constitué et atteinte au moral de l’armée »[15]. Il rejoint le FLN puis combat au sein de l’Armée de Libération Nationale en 1956. Durant la crise de l'été 1962, le GPRA et les militants de l'intérieur sont vaincus par l'armée des frontières et le clan d'Oujda, menés par Houari Boumédiène, qui s'est allié avec Ahmed Ben Bella. Lakhdar Bouregaâ a été arrêté samedi, chez lui, par des agents des services de sécurité en civil et conduit dans un endroit inconnu. Bekhti Ould Abdallah, « Je connaissais l’aptitude à la trahison du commandant Azzedine », Kamel Lakhdar-Chaouche, « Lakhdar Bouregaâ: Le fidèle compagnon de lutte de Ait Ahmed », Lexpressiondz.com, 2 janvier 2019, « L'histoire du Moudjahid Lakhdar Bouregaa - Algérie360.com », sur, « « Libérez Bouregaâ », tonnent les manifestants à Alger », dzvidéo, 23 août 2019. » « Gaid Salah accuse les jeunes de la … Hospitalisé depuis plus de dix jours avec son épouse à la clinique Les Glycines à Alger après leur infection au (covid-19), le … En juillet 1969, il est condamné par la Cour révolutionnaire présidée par Mohamed Abdelghani à 10 ans de prison pour avoir participé à un complot visant à assassiner Houari Boumédiène, et à 20 ans de prison pour avoir participé à la tentative de coup d'État de Tahar Zbiri, en décembre 1967. C’est toujours un plaisir de discuter avec Lakhdar Bouregaâ et pas seulement pour son humour sarcastique ou ses succulentes anecdotes. Pour communiquer avec Lakhdar, inscrivez-vous sur Facebook dès maintenant. En 2019, durant le hirak, il fait partie des membres qui soutiennent la volte-face de l'Organisation nationale des moudjahidine (ONM) contre Abdelaziz Bouteflika[11], ce qui contribue à précipiter la démission du président. Durant la guerre d'Algérie, en 1956, il rejoint l'armée de libération nationale (ALN) après avoir déserté l'armée française. Au procès où il comparait libre, le 12 mars 2020, le procureur demande sa condamnation à 1 an de prison ferme[26]. Lakhdar Bouregaâ est décédé à cause du coronavirus le mercredi 4 novembre 2020. Toujours humble et affable ! Topics Lakhdhar bouragaa, Les hommes de mokorno, Algérie, révolution Algérienne, 1954-1962 Collection opensource Language French …SI LAKHDAR BOUREGAA , né le 15 Mars 1933 à El Omaria dans la wilaya de Médéa.Commandant de l'ALN. Le 28 octobre, sa détention est renouvelée pour quatre mois[22]. Auteurs de l'article « Lakhdar Bouregaa » : « Lakhdar Bouregaâ raconte la torture dans les geôles de Boumediene », dzvidéo, 30 juin 2019. Il est libéré le 2 janvier 2020[24], en même temps que de nombreux autres militants du hirak[25]. Suite à des déclarations au sujet du général Ahmed Gaïd Salah, nouvel homme fort du régime, qu'il accuse notamment d'avoir déjà choisi le futur président de la République[13], ainsi qu'au sujet de l'armée des frontières, il est arrêté le 30 juin après une plainte du ministère de la Défense[14] et poursuivi pour « outrage à corps constitué et atteinte au moral de l’armée »[15]. Le 26 juin, il participe à la réunion de signature du « pacte pour l'alternative démocratique » au siège du RCD[12].